Équipe
Chef de service |
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Prof. Justine GAUGUEUMONS – LinkedIn – ResearchGate – ORCID Professeur, Chef du service de Psychologie Clinique. Justine Gaugue est psychologue clinicienne de formation et docteur en psychologie clinique et psychopathologie. Elle s’intéresse tout particulièrement à la clinique de la périnatalité et aux processus de santé. |
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Chargé.e.s de cours |
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Jennifer DENISDocteure en psychologie, professeure associée en psychologie clinique à l’UMONS, psychothérapeute analytique, thérapeute conjugale et familiale, et psycho-traumatologue. Elle est responsable académique du Certificat Universitaire en thérapie conjugale, familiale et interventions systémiques à l’Université de Mons. |
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Sarah GALDIOLO
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Lisa DE NOOSELicenciée et docteur en psychologie, formée en psychothérapie d’orientation analytique et systémique, Lisa De Noose assure des consultations auprès d’enfants, adolescents, adultes et familles. Chargée de cours à l’Université de Mons, Lisa De Noose y assure l’enseignement des méthodes projectives et organise par ailleurs de nombreuses formations et supervisions à destination des professionnels de la santé mentale. |
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Phillippe FOUCHETPhilippe Fouchet est professeur (psychologie clinique et psychopathologie) à l’Université Libre de Bruxelles et intervient également dans plusieurs cours de Master en sciences psychologiques à l’Université de Mons.
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Assistant.e.s sous mandat |
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Stéphanie CULOTUMONS – LinkedIn – ResearchGate – ORCID Stéphanie Culot est Docteur en Sciences Psychologiques et de l’Education (2022). Depuis 2015, elle travaille au sein du Service de Psychologie Clinique, d’abord en tant qu’assistante temporaire, puis en tant qu’assistante sous-mandat. Dans ce cadre, ses travaux de recherche se situent principalement dans le domaine de la périnatalité et s’axent autour du vécu paternel périnatal. Plus précisément, elle a réalisé une thèse de doctorat sur la détresse psychologique paternelle en post-partum et ses répercussions sur la dyade père/bébé. Stéphanie Culot intervient aussi dans l’encadrement des travaux pratiques, des stages et des mémoires des étudiants inscrits au Master en Sciences Psychologiques. Elle dispense également des enseignements relatifs au psychodiagnostic et à l’utilisation des dessins en clinique infanto-juvénile. Au niveau clinique, Stéphanie Culot propose une consultation au CUCP (Centre Universitaire de Consultations Psychologiques) orientée autour de l’évaluation psychologique (du bébé à l’adolescent) et de l’accompagnement à la parentalité. |
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Pauline DELANNOYDiplômée d’un Master en Sciences Psychologiques en 2016 à l’UMONS et titulaire du titre de psychologue clinicienne, Pauline Delannoy a commencé à travailler à l’UMONS en tant qu’assistante-pédagogique en septembre 2016 au sein du Service de Psychologie Clinique de l’Enfant et de l’Adolescent, puis en tant qu’assistante sous mandat depuis septembre 2017 au sein de ce même service, devenu aujourd’hui le Service de Psychologie Clinique. Elle réalise sa thèse de doctorat sur le vécu et l’ajustement des frères et sœurs d’enfants diabétiques de type 1 et porte un intérêt particulier au champ de la psychologie de la santé à travers l’ajustement des familles confrontées à la maladie chronique d’un enfant. Au-delà de ses activités de recherche, Pauline Delannoy y exerce des activités pédagogiques comme la dispense de certains enseignements (Introduction au Psychodiagnostic (site Charleroi), Psychodiagnostic, Productions graphiques chez l’enfant), la supervision des stages de Master et l’encadrement des mémoires. Elle intervient également dans certains cours consacrés à la maladie somatique. Enfin, elle fait partie de la Commission Programme Master en Sciences Psychologiques de l’UMONS depuis 2018 et participe à des groupes de travail au sein de la Coordination Assuétudes en Hainaut-Occidental (CAHO) depuis 2016. |
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Logan HANSOTTEUMONS – LinkedIn – ResearchGate Diplômé d’un Master en Sciences Psychologiques et de l’Education à finalité approfondie en 2018, Logan Hansotte est actuellement assistant sous mandat. Sa thèse s’intéresse aux parents dont l’enfant présente un(des) comportement(s) externalisé(s). L’objectif est d’étudier l’intensité des biais cognitifs (i.e., attentionnels, d’interprétation et de mémoire) présentés par les parents ainsi que de proposer une intervention permettant de les réduire. Ses autres intérêts de recherche sont l’autisme, la thérapie centrée sur le personne et expérientielle et les questions de genre. Par le passé, il a eu l’occasion de travailler sur le burn-out parental (et le travail émotionnel), la violence et la négligence parentale, la surdité (familier avec la LSFB – A2), les théories de Kahneman & Tversky ainsi que sur la théorie de l’esprit (en neuropsychologie). Il utilise fréquemment R, SPSS, PsychoPy et est familier de HLM et Lisrel. |
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Maria-pascale LUKENGA
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Anthony MAUROYUMONS – LinkedIn – Researchgate – Google Scholar – ORCID Anthony Mauroy a obtenu un diplôme de Master en Sciences Psychologiques, à finalité spécialisée, en 2020. Il travaille actuellement dans le Service de Psychologie Clinique en tant qu’assistant sous mandat et réalise une thèse de doctorat portant sur la compréhension qu’ont des parents des pensées de l’autre lors d’interactions triadiques parents-enfant. Ses thématiques de recherche portent sur l’empathie, la petite enfance et la parentalité. D’un point de vue pédagogique, Anthony Mauroy intervient également dans des enseignements relatifs au psychodiagnostic et à l’utilisation d’échelles d’observation du jeune enfant. Il encadre également des travaux pratiques, stages et mémoires d’étudiants inscrits en Master en Sciences Psychologiques. |
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Sandie MEILLERAISUMONS – LinkedIn – Researchgate – ORCID Sandie Meillerais s’est d’abord formée à l’Histoire de l’Art à Tours en France pendant 3 ans. Après avoir réalisé une formation en art-thérapie (AFRATAPEM et Université de Médecin de Tours) durant 4 ans, la psychologie l’a rendue curieuse des différents processus et fonctionnements de l’être humain. Après avoir réalisé une licence de psychologie en France, au sein de l’Université de Tours, elle s’est orientée vers la formation d’obédience systémique en venant réaliser son Master en Belgique. Elle poursuit actuellement sa formation de thérapeute au sein du 3ème cycle de Psychothérapie familiale, conjugale et systémique. En tant qu’assistante-doctorante, son temps se conjugue selon plusieurs types d’activités pédagogiques, tels que l’encadrement de mémorants, supervision et accompagnement de stagiaires, réalisation et correction de TP, interventions en cours ; des activités de recherche par la réalisation d’une thèse portant sur l’utilisation des objets flottants dans le cadre d’interventions thérapeutiques familiales (recherche, rédaction d’articles, participation à des congrès, etc.); et enfin d’activités cliniques, via des consultations dans le cadre du Centre Universitaire de Consultations Psychologiques et au sein de l’Espace Parents dans la Séparation de Mons. |
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Collaborateurs scientifiques |
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Michel SFEIRUMONS – LinkedIn – Researchgate – Google Scholar – ORCID Titulaire d’un Master en Psychologie Clinique de l’Université de Lausanne en Suisse, Michel Sfeir est doctorant sur la bourse Excellence of Science (EOS) du FNRS qui vise à étudier la transmission de la résilience au sein de la famille. Sa thématique de doctorat porte sur la synchronie comportementale triadique, notamment la tonalité, le pitch et le volume de la voix. Michel Sfeir s’intéresse également à d’autres aspects de la santé mentale tels que les rêveries compulsives, les troubles addictifs et les troubles alimentaires. En outre de ses intérêts à la recherche, Michel Sfeir est formé en thérapie cognitivo-comportementale à l’Institut de Beck, en psycho-oncologie avec la Société Française et Francophone de Psycho-Oncologie ainsi qu’en thérapie centrée sur le trauma (Narrative Exposure Therapy). Son activité clinique s’étend à plusieurs bénévolats dans plusieurs organisations non-gouvernementales au Liban. |
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