Activités de recherche
En matière de recherche, ChinEAsT s’inscrit pleinement dans le cœur de métier de la FTI-EII, au carrefour de la traduction, de la littérature et de l’histoire littéraire, de l’analyse du discours, de la linguistique et de l’enseignement des langues, dans un prisme est-asiatique. Il est principalement actif dans les thématiques suivantes :
- Didactique des langues de Chine et d’Asie orientale et enseignement de la traduction depuis ou vers ces langues ;
- Histoire comparée de la littérature de Chine et d’Asie orientale, et regard diachronique sur la traduction depuis ou vers les langues de cette zone ;
- Analyse critique des traductions (littéraires et pragmatiques) depuis ou vers les langues de Chine et d’Asie orientale ;
- Utilisation des nouvelles technologies dans l’analyse synchronique des langues de Chine et d’Asie orientale, et examen de leurs implications en didactique et dans la traduction depuis ou vers ces langues.
Les cadres méthodologiques ou théoriques dans lequel s’inscrivent ces recherches incluent, sans s’y limiter : l’approche descriptive de la traductologie, la théorie du polysystème, la linguistique/traductologie de corpus, l’analyse du discours, la sociologie de la traduction, mais aussi la phraséologie, la lexicologie/lexicographie ou encore la narratologie.
Outre sa participation active à des conférences et colloques en Belgique et à l’étranger, le service ChinEAsT s’efforce de visibiliser les recherches en lien avec ses thématiques. Ses membres sont notamment à l’origine, depuis 2021, du cycle annuel de séminaires « Chine et traduction », où des spécialistes internationaux des études chinoises actifs dans la traduction sont invités à rendre compte de leurs recherches dans ce domaine.
Le service, membre de l’Institut de recherche en sciences et technologies du langage de l’UMONS (IRSTL, Institut LANGAGE), entretient des relations privilégiées avec des structures sœurs en Belgique francophone, notamment avec le centre de recherche EASt (East Asian Studies) de l’Université libre de Bruxelles. En dehors de la Fédération Wallonie-Bruxelles, il a noué des liens forts avec des institutions européennes prestigieuses telles que l’Universiteit Gent, l’Université Aix-Marseille, l’Université de Paris, l’Université Lyon III ou l’Università Ca’ Foscari de Venise. En Asie orientale, en dehors des nombreuses universités partenaires de la FTI-EII en Chine continentale, à Taïwan et au Japon, les membres du service ChinEAsT ont également des liens académiques avec des enseignants-chercheurs de Hong Kong, Macao, Singapour ou encore de Corée du Sud. En termes de contacts diplomatiques, le service entretient enfin des rapports excellents avec la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Pékin, avec les agents de liaison académique et culturelle à Pékin et Kyoto, avec les antennes est-asiatiques de l’AWEX et de hub.brussels, ainsi qu’avec les représentations officielles et les différents centres culturels de Chine (Continent et Taïwan), du Japon et de Corée en Belgique.