L’UMONS consolide ses collaborations avec les universités québécoises
Plus qu’une simple mission au Canada, c’est la confirmation d’une collaboration riche et prometteuse avec plusieurs partenaires universitaires qu’a ramené l’UMONS de son périple au Québec fin octobre.
Durant plusieurs jours, la délégation de l’UMONS a multiplié les moments de rencontres et d’échanges visant à renforcer les liens déjà établis entre des universités très éloignées l’une de l’autre sur le plan géographique, mais qui ont indubitablement une vision commune.
La délégation de l’UMONS était composée du Prof. Philippe Dubois, Recteur de l’UMONS, du Prof. Laurence Ris, Vice-Rectrice aux relations, mobilités et coopérations internationales (biologie médicale, neurosciences), du Prof. Justine Gaugue, Doyenne de la Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Éducation, du Prof. Chantal Scoubeau, Doyen de la Faculté Warocqué d’Économie et de Gestion, de Mme Géraldine Berger, cheffe du Service des Relations Internationales, du Prof. Philippe Leclere, enseignant et chercheur spécialisé dans les nanomatériaux, ainsi que de Mme Eleonora Fusella, coordonnatrice des mobilités internationales au sein du Service des Relations Internationales.
La recherche a comment souvent été au centre des discussions. Cette nouvelle mission au Canada a d’ailleurs été l’occasion pour la Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Éducation (FPSE) et la Faculté Warocqué d’Économie et de Gestion (FWEG), représentées par leurs responsables respectives, de faire faire le point sur les accords et collaborations en cours.
Du côté de la FPSE, on peut citer le domaine de la mémoire sémantique, mémoire incarnée et orthophonie, le domaine de la psychoéducation, la formation des maîtres de stages ou encore le domaine de la psychologie légale et la neuropsychologie d’auteurs de violences (dont sexuelles), pour ne donner que quelques exemples.
Des collaborations dans le domaine des sciences du langage, de la logopédie et des sciences de la mesure ainsi que dans le domaine de l’IA et de l’éducation sont également envisagées.
Le passage à l’Université du Québec à Trois-Rivières a notamment été l’occasion de parler de l’Institut de recherche sur l’hydrogène (Institut Recherche Hydrogène), ou encore de la Vallée de la Transition Energétique , d’excellentes sources d’inspiration pour l’UMONS.
Concernant l’Université du Québec à Montréal, recherche et mobilité ont également été au cœur des échanges, sans oublier le soutien à l’innovation sociale et à la valorisation de la recherche par une mise en commun des bonnes pratiques.
En plus de mieux connaître les opportunités de collaborations en matière de recherche, cette nouvelle mission au Canada a également permis d’ accroître les possibilités de mobilité pour les étudiants. De bonne augure pour la suite de ce partenariat belgo-canadien.
