L’UMONS adresse son plein et entier soutien aux habitants de Beyrouth sinistrés
L’Université de Mons (UMONS) tient à manifester son soutien et à formuler ses plus vifs et sincères encouragements aux Beyrouthins, durement éprouvés suite à la terrible double explosion qui a dévasté leur ville le mardi 4 août.
L’UMONS a tissé des liens forts et étroits au fil du temps avec le Liban et sa capitale. L’institution montoise est liée par trois conventions avec le Liban parmi lesquelles l’Université Libanaise et Saint-Joseph, toutes deux situées à Beyrouth, ainsi que celle de Balamand, basée à Tripoli.
Plusieurs doctorants libanais, certains en cotutelle, sont accueillis actuellement au sein de plusieurs des facultés scientifiques de l’UMONS.
Des échanges d’étudiants ont également lieu régulièrement entre notre institution et l’Université Libanaise. Trois étudiants libanais étaient encore accueillis lors du dernier 2e quadrimestre au sein de la Faculté de Traduction et d’Interprétation montoise. Les contacts sont réguliers entre le Liban et le département de Langue et Culture arabes (de même qu’en chinois aussi) de la Faculté de Traduction et d’Interprétation montoise.
Deux des étudiants qui y achèvent leur formation cette année ont choisi d’effectuer leur stage Erasmus + d’immersion linguistique et culturelle au Liban et à Beyrouth précisément. Ils écrivaient chaque semaine un résumé lié au stage à leur Cheffe de département, Mme Najwa Hamaoui (Professeure Phd).
Tous celles et ceux qui sont allés là-bas en sont en tous cas revenus enchanté(e)s de leur stage mais aussi de la richesse culturelle et pédagogique de ce dernier. Ils ont été marqué(e)s par l’hospitalité ancestrale des Libanais, leur pluralisme, leur ouverture d’esprit mais aussi… leur gastronomie.
« L’une de nos collègues à Beyrouth, le Prof. Dr. Gisèle Riachi, Doyenne de la Faculté de Traduction de l’Université Libanaise de Beyrouth (ULB) et qui supervise les stages des étudiants à l’UMONS là-bas m’informait que son institution avait subi de graves dommages mais que les travaux de reconstruction venaient de commencer », confie le Prof. Hayssam Safar qui est également en contact avec des collègues des deux autres universités libanaises partenaires.
En ces moments difficiles, la communauté UMONS dans son ensemble a une pensée émue pour l’ensemble de ses collègues libanais, frappés par le drame de Beyrouth et la situation injuste et difficile que traverse actuellement leur pays.