Foire aux questions

 

Les droits d’inscription (parfois appelés dans le langage courant  « Le minerval ») peuvent être différents en fonction de la formation choisie et/ou en fonction de la situation des étudiants.

Vous trouverez plus d’informations sur cette page.

Au minerval devront s’ajouter les éventuels coûts de logement et de fournitures scolaires (matériel, syllabi, etc.).

Vous trouverez le calendrier académique sur cette page.

Organisation d’une année académique
Une année académique est divisée en trois quadrimestres. Chaque quadrimestre couvre approximativement quatre mois, incluant une période d’activités d’apprentissages (cours) et une période d’évaluations permettant l’acquisition des crédits. Le troisième quadrimestre ne comprend pas de période de cours mais peut être consacré à la réalisation d’activités d’intégration professionnelle ou de travaux personnels. L’étudiant a la possibilité de présenter l’épreuve deux fois au cours de la même année académique, en fin de deux quadrimestres différents. Toutefois, pour les activités d’apprentissage du 1er quadrimestre des UE rattachées au 1er bloc de 60 crédits du bachelier, les étudiants qui n’ont pas acquis les crédits en janvier peuvent représenter l’évaluation en juin et, s’ils n’ont pas obtenu les crédits à l’issue du 2e quadrimestre, en août-septembre. Il s’agit de la « règle des trois chances ».

Non, les études de sciences dentaires ne sont pas organisées à l’UMONS.

Le cursus en Sciences dentaires en Communauté Française est organisé dans les universités suivantes:

  • Université Libre de Bruxelles (ULB)
  • Université Catholique de Louvain (UCLouvain)
  • Université de Liège (ULg)

Sciences biomédicales : la santé entre vos mains

Le programme de Bachelier en Sciences biomédicales apporte une formation de base en sciences fondamentales et en sciences de la vie. Il est destiné aux étudiants soucieux de comprendre, d’analyser et résoudre des questions scientifiques dans le domaine de la santé. Il associe l’étude du fonctionnement du corps humain et de ses pathologies à la parfaite connaissance des processus biologiques, biochimiques et moléculaires.

Acquis pédagogiques

A l’issue de ce programme de cours, les étudiants seront capables :

  • de découvrir des causes de maladies ;
  • de développer des outils nécessaires à l’établissement de diagnostics ;
  • de mettre en évidence de nouvelles cibles pour des médicaments ;
  • d’étudier l’efficacité des médicaments grâce à des modèles expérimentaux de maladies

Et après …

Le Master en Sciences biomédicales permet d’accéder aux Masters de spécialité dans le domaine biomédical de la Communauté européenne.
Les étudiants en Master auront également accès au programme d’agrégation de l’enseignement secondaire supérieur.

Débouchés

Le Master en Sciences biomédicales offre divers débouchés, notamment :

  • Chercheur
  • PME, Spin off, Sociétés pharmaceutiques, Hôpitaux, SPW, …
  • Valorisation de la recherche, Analyse clinique, Experts, Brevets, Propriété intellectuelle, Qualité, …
  • Enseignant en secondaire (AESS), en Haute Ecole (CAPAES), à l’Université (après la réussite d’un Doctorat)

Quelques exemples de professions auxquelles le Master spécialisé en Neuroscience donne accès :

  • Carrières scientifiques en milieu académique ou industriel
  • Industries pharmaceutiques, alimentaires et des technologies médicales
  • Découverte et développement de médicaments (population vieillissante (MA, PD, diabète, AVC, tumeurs cérébrales); obésité (nutrition); migraine; toxicomanie…)
  • Recherche scientifique et fonctions politiques dans les instituts de recherche
  • Institutions de traitement de la santé somatique et mentale
  • Instituts médico-légaux
  • Centres de recherche et de conseil en éducation
  • Prestataires d’assurance
  • Économie comportementale ou neuroscience de décision
  • Conseiller, politique publique
  • Médecine sportive et rééducation
  • Domaine militaire

Pharmacien : le spécialiste du médicament

Les formations de Bachelier et de Master en Sciences pharmaceutiques à l’Université de Mons sont articulées pour rencontrer les besoins accrus en Pharmaciens de la Wallonie et de la Province de Hainaut, pour assurer une prise en charge optimale des patients et répondre aux exigences scientifiques et réglementaires de l’industrie (bio)pharmaceutique.

Débouchés

Nos formations de Bachelier et Master sont conçues en lien direct avec les problématiques de santé publique mais aussi avec la volonté du tissu économique et industriel Wallon de contribuer au redéploiement de nos provinces, singulièrement du Hainaut. En 2018, plus de 37.000 personnes étaient actives dans le secteur (bio)pharmaceutique en Belgique. Les perspectives d’emploi qui vous sont offertes concernent aussi bien l’officine que l’industrie, les agences réglementaires, la clinique, l’analyse biologique et la recherche. La versatilité des carrières vous permet de travailler dans une officine, un laboratoire, un hôpital, un bureau, en enseignement ou en recherche. Avec le médicament, le médecin et le patient. En Belgique et à l’international…

Médecine : le spécialiste de la santé à l’écoute du patient

Le Bachelier est divisé en 3 blocs (années) ou 6 quadrimestres.
Contrairement au cursus en Sciences biomédicales ou en Sciences pharmaceutiques, le cursus en Médecine ne reprend plus toutes les notions de base dans l’enseignement dispensé. L’examen d’entrée contraignant mis en place depuis 2017 et actuellement le concours garantit que les compétences visées dans les programmes de sciences de l’enseignement secondaire ont bien été acquises par tous les étudiants admis au Bachelier en Médecine. Ceci permet aux enseignants d’aborder plus rapidement les matières spécifiques au domaine de la santé. Il n’y aura par exemple plus d’enseignement des mathématiques. Les notions principales vues en secondaire dans les sciences de base (Biologie, Physique et Chimie) seront uniquement brièvement rappelées au début des cours (unités d’enseignement) portant sur ces matières.
Des cours plus « médicaux » peuvent alors être introduits très rapidement, comme par exemple de la Physiologie générale dès le premier quadrimestre de la première année d’études.

Quadrimestre 1, 2, 3 et 4 : l’essentiel de cette période est consacré à la connaissance de “l’homme normal”, en passant de la molécule (Biochimie, Immunologie, Génétique), aux tissus (Histologie) à l’individu (Physiologie, Neurophysiologie), et de la
structure (Anatomie, Embryologie) au fonctionnement (Psychologie).

Le quadrimestre 5 est dédié à l’introduction aux états pathologiques, dans leurs différents aspects : moléculaire (Biologie moléculaire du cancer, Biochimie pathologique), tissulaire (Anatomie pathologique), fonctionnel (Physiopathologie, Neurophysiopathologie) et clinique (Sémiologie).

Le quadrimestre 6 : Les maladies et leurs traitements étaient abordés en Master (anciennement appelé « doctorat »). Depuis la réduction à 6 ans de la durée des études de Médecine, l’enseignement de certaines pathologies est cependant abordé dès le dernier quadrimestre du Bachelier. C’est en particulier vrai pour les affections cardio-circulatoires et respiratoires (médicale et chirurgicale), ainsi que les maladies infectieuses.

Tout au long du Bachelier, on trouve également des enseignements qui visent directement à une compétence professionnelle et humaine de qualité. L’étudiant sera rapidement habitué à utiliser son sens critique et scientifique acquis au cours des enseignements théoriques de base dans des applications médicales (Sociologie de la santé, Apprentissage au raisonnement médical, Épidémiologie clinique). Les aspects relationnels sont très importants dans leur futur métier et ne sont pas oubliés. Ils sont développés dans un cadre théorique dans les cours de Psychologie ou d’Introduction à la médecine générale, mais l’apprentissage dans ce domaine est renforcé par des travaux de groupe et des exposés répartis sur les 3 années. Un stage d’introduction à la pratique médicale que les étudiants réalisent à l’hôpital ou au cabinet d’un médecin généraliste leur permet également de percevoir les différentes facettes de la relation patient – soignant.

Acquis pédagogiques

  • Au terme du Bachelier en Médecine, les étudiants seront capables :
    de conduire un raisonnement avec la rigueur nécessaire en appliquant les connaissances de base (Bloc 1) dans les cours de la suite du cycle
  • de mettre en œuvre des compétences transversales, à savoir : établir des liens entre les différents cours (Anatomie, Physiologie, Biochimie et Histologie), intégrer les connaissances de “l’homme normal” pour comprendre les situations pathologiques (Physiopathologie), travailler en équipe ainsi que d’être capable de communiquer (oralement et par écrit).

Les étudiants maîtriseront parfaitement les connaissances relatives à “l’homme normal” et aux principes qui régissent le dysfonctionnement des organes. Les étudiants aborderont les mécanismes impliqués dans certaines pathologies.

Et après ?

Avec le diplôme de Bachelier en Médecine, l’étudiant peut poursuivre sa formation médicale en Master. Celui-ci sera organisé à l’UMONS dès la rentrée académique 2024-2025 !

La rentrée 2024-2025 marquera un tournant dans l’histoire de la Faculté de Médecine et de Pharmacie puisque le Master en Médecine sera proposé pour la toute première fois à l’UMONS, en co-diplomation avec l’Université Libre de Bruxelles (ULB). La formation de Bachelier en Médecine, proposée depuis cinquante ans à l’UMONS, oriente les étudiants vers une médecine moderne et humaine. Le Master en Médecine sera donc construit dans cette continuité et permettra aux étudiants d’acquérir les compétences nécessaires pour répondre aux enjeux sociaux, sociétaux et de santé publique de la Province du Hainaut.

Une approche holistique, transdisciplinaire et orientée vers le Patient

L’enseignement se veut progressif tout au long du Master. L’apprentissage théorique par domaine disciplinaire prédomine durant les deux premières années. Il permet l’acquisition des connaissances nécessaires sur les maladies (leur pathologie, leur prise en charge et leur traitement). En parallèle, un apprentissage intégratif est dispensé par des cliniciens en petits groupes encadrés, menant ainsi à une approche holistique et transdisciplinaire des connaissances et du raisonnement clinique. Il inclut la simulation de situations de plus en plus complexes, associant des aspects éthiques, déontologiques, légaux et conduisant à l’intégration de compétences professionnelles transversales.

De la théorie à la pratique

De nombreux stages sont prévus au programme du cursus en Médecine, et ce dès le troisième bloc de Bachelier. Ces stages sont le meilleur moyen pour mettre en pratique les connaissances disciplinaires acquises au cours de votre parcours académique et de vous projeter dans ce métier que vous apprenez. Ils vous permettent de développer les compétences indispensables au métier de médecin, quelle que soit la spécialisation envisagée par la suite. Vous aurez ainsi l’occasion d’améliorer vos capacités en communication (avec les collègues et les patients), à travailler en équipe, à gérer votre stress ou encore à vous adapter à la réalité de terrain.

Un étudiant formé en Citoyen du Monde

Si l’Université de Mons vise à améliorer la densité médicale en Hainaut, elle reste attachée à ouvrir les étudiants à l’international durant leur formation, soit au travers de stages internationaux, soit par une politique affirmée d’internationalisation “at home”. Une formation à l’Anglais médical, intégrée dans les cours spécialisés et encadrée par des linguistes expérimentés, vous offre une perspective unique vers des séjours Erasmus.

Un pas de plus vers les Masters de spécialisation

Pour avoir accès à la pratique médicale dans le cadre du remboursement des soins de santé par l’Institut National d’Assurance Maladie Invalidité (INAMI), la formation médicale de base (Bachelier ➕ Master) doit obligatoirement être complétée par un Master de spécialisation. Le Master organisé conjointement par l’UMONS et l’ULB vous préparera au mieux à ces formations spécialisées, que vous choisissiez la spécialisation en médecine générale ou les spécialités hospitalières. Ces formations spécialisées ne sont pas organisées par l’UMONS. Elles vous seront toutefois accessibles via les hôpitaux universitaires de l’ULB, de l’UCLouvain ou de l’ULiège.

Une université ouverte sur le monde et ancrée dans sa ville et sa région

L’entièreté de la formation théorique se déroule sur le campus de Mons qui offre un cadre de vie enrichissant et une pédagogie de proximité. Université à taille humaine, l’UMONS n’en est pas moins ouverte sur le monde et sa région. Sa recherche d’excellence contribue au développement socio-économique de toute une région.

Une co-diplômation

L’UMONS et l’ULB ont décidé de s’associer pour favoriser l’accessibilité à l’enseignement universitaire ainsi que les vocations dans un domaine et une province dans lesquels il existe un besoin sociétal grandissant. L’ULB contribuera à cette association entre autres au travers de son réseau de stage hospitalier et de médecine générale. Co-diplomation signifie également que vous serez diplômé par les deux Universités !

Débouchés

Nos formations de Bachelier puis Master conduisent au titre de Médecin et permettent l’acquisition des connaissances et compétences qui sont communes à tous les praticiens quelle que soit le domaine d’expertise. A l’issue de ces deux cycles, les nouveaux diplômés devront orienter leur pratique vers un des nombreux domaines médicaux existant, allant de la médecine curative générale ou spécialisée à la médecine non-curative en santé publique, dans le domaine médicolégal ou encore en recherche.

Depuis la création de la Faculté, ses enseignants chercheurs, qu’ils soient physiciens, chimistes, biochimistes, biologistes, pharmaciens ou médecins, collaborent à une offre de formations garantissant un enseignement de proximité et de qualité. Cette attention de tous assure un encadrement optimal et permet une accessibilité aux services de recherches intégrés aux infrastructures facultaires.
La Faculté a toujours eu le souci d’organiser et de gérer au quotidien un enseignement qui s’alimente, comme il se doit dans une institution universitaire, des produits d’une recherche scientifique fondamentale et pluridisciplinaire. Ses équipes de recherche travaillent avec les instruments les plus modernes dans des domaines de pointe. La reconnaissance de la qualité de leur travail se traduit par de très nombreuses collaborations nationales et internationales.

La Faculté de Médecine et de Pharmacie de l’UMONS justifie ainsi pleinement son appartenance à une Université qui garde, avec un succès toujours croissant, une dimension humaine tout en alliant modernité, proximité, rayonnement international et tradition au cœur du Hainaut.

De plus, la Faculté de Médecine, Pharmacie et Sciences biomédicales de l’UMONS possède sa propre cellule pédagogique, dont la mission
s’articule autour de différents axes:

  • La préparation
  • L’accompagnement pédagogique
  • Le soutien méthodologique
  • Le tutorat

Les aides proposées sont accessibles à tous les étudiants de la Faculté de Médecine, Pharmacie et Sciences biomédicales mais le support de la cellule pédagogique est particulièrement important pour les étudiants s’inscrivant en Sciences biomédicales prenant l’option de passer l’année suivante le concours d’entrée en Médecine.

Oui, le diplôme délivré est européen et est donc reconnu dans toute l’Union Européenne. Il faut toutefois que l’Ordre des Pharmaciens/Médecins français accepte votre inscription pour pouvoir exercer votre métier en France.