Labovir-IUS

Le 18 mars 2020, la Belgique plonge dans le confinement. Du jour au lendemain, des milliers d’étudiant.e.s se retrouvent dans l’incapacité de se rendre au sein de leur université pour y suivre les divers apprentissages de leurs enseignant.e.s.

Le 30 mars, le Labovir-IUS de l’École de Droit UMONS-ULB se tient virtuellement pour la première fois, à l’initiative d’Anne-Emmanuelle Bougaux (professeure de Droit constitutionnel et Histoire du Droit), afin d’observer l’évolution du droit positif adopté dans le cadre de la lutte contre la Covid-19.

De mars à août 2020, il a lieu chaque lundi. Dans la fraîcheur du début du printemps ou les chaleurs accablantes du milieu de l’été. En confinement dur, en déconfinement progressif ou en reconfinement larvé.

Au 10 janvier 2022, le Labovir-IUS continuait à se dérouler, en compagnie d’une nouvelle cohorte d’étudiants.

Sur le plan pédagogique, le Labovir-ius est une initiative participative. Sur le plan juridique, le Labovir-ius est un observatoire qui permet de suivre l’évolution du droit de la crise adopté pour répondre à la pandémie Covid-19. Notre contribution couvre nos observations recueillies lors de la première vague de confinement allant de mars à août 2020.

Le Labovir-ius, laboratoire juridique sur le Droit Covid-19

  • Une rencontre prof-étudiant.es de tous niveaux
  • Un atelier en ligne sur Discord
  • Un rendez-vous chaque semaine depuis mars 2020
  • Un observatoire du réel : plus de 100 cas pratiques, 25 décisions de jurisprudence et 55 arrêtés Covid-19

Une expertise juridique et une implication citoyenne

  • Une analyse de chaque arrêté depuis le confinement
  • Une évaluation de la Loi Pandémie
  • La réalisation de 4 consultations juridiques
  • La publication d’un article scientifique et de deux articles de vulgarisation
  • Une conférence-débat en ligne : « Covid+365J » avec, comme invitée, Olivia Venet, Présidente de la Ligue des Droits humains
  • Un dépôt de signalement à UNIA
  • Une formation à la FOPES
  • La création d’un networking avec des juristes et des associations

On parle de nous :