MoU

L’UMONS, et en particulier la FTI-EII, fait partie du réseau MoU (Memorandum of Understanding) de l’Organisation des Nations Unies. Il s’agit là d’une plateforme de collaboration mutuelle entre l’organisation internationale et une vingtaine d’universités partenaires ayant pour objectif le partage d’informations sur les besoins et les ressources en matière de formation de linguistes professionnels.

Depuis la signature du MoU le 4 mars 2010, la collaboration entre l’ONU et la FTI-EII a lentement pris forme, grâce au dynamisme et à la volonté de collègues motivés au sein des deux institutions, et notamment d’Anne Fassotte, ancienne étudiante de l’EII, aujourd’hui Chef de la Section française de traduction de l’ONU à Genève.

Lors de la première année de coopération, deux étudiants de la FTI-EII ont été choisis parmi les éléments prometteurs de l’école pour aller effectuer un stage à New York, pendant les deux mois d’été. Depuis, au fil des réflexions, des discussions et des idées des uns et des autres, le partenariat a nettement évolué.

Les activités organisées en commun aujourd’hui ? Citons notamment des séances d’exercices de traduction et d’interprétation supervisées par des fonctionnaires de l’ONU et leur participation aux jurys de traduction à vue et d’interprétation, ainsi qu’un système de mentorat offrant aux étudiants de la Faculté un suivi personnalisé par un réviseur de l’ONU.

Plusieurs étudiants de Master 2 de la FTI-EII effectuent également chaque année leur stage professionnel dans les services de l’ONU, qu’ils s’envolent pour New York, Genève ou Vienne. Ils y bénéficient d’un encadrement personnalisé, constant et attentif de la part de réviseurs affectés à cette tâche. Ils travaillent comme les autres traducteurs/interprètes, selon les mêmes horaires et dans les mêmes conditions, produisant des textes qui sont révisés puis publiés. Ils ont l’occasion de découvrir comment fonctionne l’Organisation, étant régulièrement invités à participer à des séances de l’Assemblée générale ou même du Conseil de sécurité.

Une collaboration étroite donc qui a pu se concrétiser grâce à l’enthousiasme d’enseignants de la FTI-EII et de leurs collègues traducteurs/interprètes à l’ONU ayant à cœur de tirer le meilleur parti de cet accord pour ouvrir de réelles perspectives d’emploi aux étudiants !