Journée d’étude – La phrase dans les grammaires scolaires françaises (1750-1950) : quelles descriptions pour quels enseignements (FLM ou FLE) ?
Programme de la journée d’étude
8h30-9h00 : accueil des participants – café
9h00-9h45 :
L’opposition à la première grammaire scolaire en France au XIXe siècle (1815-1855)
– Bérengère Bouard (université de Lorraine, ATILF)
9h45-10h30 :
Grammaire et enseignement de la langue maternelle en France au début du XXe siècle :
la mise en parallèle de la phrase simple et de la phrase complexe – Aurélia Elalouf
(université de Strasbourg / UR 1339 – LiLPa ; UMR 7597 HTL)
10h30-10h50 : pause-café
10h50-11h35 :
Les constituants de la phrase dans les grammaires du français, du latin et du tchèque
utilisées dans les lycées en Bohême entre 1868 et 1918 – Ondřej Pešek (université de
Bohême du Sud, České Budějovice)
11h35-12h20 :
Transferts de modèles, de la France métropolitaine vers les écoles coloniales : le cas
de la phrase dans la série “Mamadou et Bineta” (1931-1939) à destination de l’Afrique
occidentale et équatoriale française – Gérard Vigner (Sihfles/Éducation nationale)
Pause déjeuner
13h45-14h30 :
La phrase simple/complexe dans les grammaires scolaires de la première moitié du
XXe siècle – Sophie Jollin-Bertocchi (université Paris-Saclay, Versailles St-Quentin-en-
Yvelines)
14h30-15h15 :
La notion de phrase dans le Nouveau traité d’analyse grammaticale et logique à l’usage
de l’enseignement du second degré de Jean-Marie Prigent (Paris, 1940) : quels savoirs
théoriques, quelles démarches didactiques ? – Marie-Madeleine Bertucci (CY Cergy
Paris université – EA 7518 LT2D)
15h15-15h30 : pause-café
15h30-16h15 :
La grammaire comme genre (auto-)critique : quelles possibilités d’innovation de la
théorie de la “phrase” dans des manuels scolaires dans la Belgique indépendante et
au début du XXe siècle ? – Irène-Marie Kalinowska (Haute École Bruxelles-Brabant et
université de Mons)
16h15-17h00 :
La phrase, son analyse et sa ponctuation d’après la Syntaxe françoise de l’abbé Fabre
(1787) – Michel Berré (université de Mons) et Sophie Piron (université du Québec à
Montréal)
7000 Mons, Belgique