L’ONU fait confiance à la FTI-EII – et vous avez bien raison d’en faire autant.
Un réseau de référence dans le monde de la traduction et de l’interprétation
Le MoU ne relève pas d’un partenariat ordinaire. Il s’agit d’un accord officiel de coopération entre l’ONU et un réseau mondial d’universités parmi les plus reconnues dans le domaine des métiers linguistiques. Ces universités partagent une même mission, qui ne se limite pas à transmettre des compétences techniques, mais vise à former des professionnelles et professionnels des langues capables d’évoluer dans les espaces les plus sensibles du multilinguisme mondial
Dans ces lieux où les mots se négocient autant que les idées, les interprètes et traducteurs ne se contentent pas d’être des relais : ils participent à la construction du sens, à l’équilibre des échanges, à la clarté diplomatique. C’est à cette hauteur d’exigence que les universités membres du MoU préparent leurs étudiantes et étudiants, loin des logiques d’automatisation ou de simple performance.
Des avantages concrets pour vous : un parcours guidé
Les accords avec les Nations Unies ne sont pas de simples labels : ils créent des opportunités concrètes pour les étudiantes et étudiants tout au long de leur parcours.
Nos étudiants et bénéficient d’un accompagnement régulier par des professionnelles et professionnels de l’ONU, participent à des stages en traduction et en interprétation au sein des institutions onusiennes, et sont préparés aux concours linguistiques internationaux.
Ce lien direct avec le terrain permet aussi de mieux comprendre les attentes du marché du travail et de se former aux exigences réelles des métiers de la langue dans un contexte multilingue exigeant.
Autrement dit : une longueur d’avance, dans un secteur où la maîtrise des langues, l’adaptabilité et la rigueur sont plus essentielles que jamais.
Deux jours de conférences, de rencontres et de coopération
Organisée par le Département de l’Assemblée générale et de la gestion des conférences des Nations Unies (DGACM), en collaboration avec l’Université Saint-Joseph de Beyrouth, la conférence a rassemblé les universités partenaires autour de thématiques majeures pour l’avenir des professions linguistiques.
La FTI-EII UMONS, représentée par Christine Michaux, doyenne, et Daria Balandina, enseignante d’interprétation de conférence, a pris part aux échanges stratégiques portant sur l’évolution des approches pédagogiques, les compétences à anticiper dans les parcours de formation, la place de l’humain dans les pratiques professionnelles à l’ère de l’intelligence artificielle, ainsi que sur les mécanismes de coopération académique les plus efficaces dans le cadre du Mémorandum d’Accord.
Une ambition partagée avec les Nations Unies
Dans un monde traversé par des fractures géopolitiques, des crises écologiques et des bouleversements technologiques, les professions linguistiques se voient confier un rôle qui dépasse de loin la simple transmission de l’information. Elles deviennent l’un des derniers remparts contre le repli, l’uniformisation et les malentendus diplomatiques.
À travers sa participation au réseau des universités signataires d’un mémorandum d’accord avec l’ONU, la FTI-EII affirme son engagement à former des professionnelles et professionnels des langues de très haut niveau, capables de relever les défis d’un monde multilingue.
L’humain, encore et toujours
À l’heure où l’intelligence artificielle promet de rationaliser tous les processus, y compris ceux du langage, il devient presque subversif d’affirmer que les traducteurs et les interprètes conservent — et conserveront — une légitimité irréductible. Car ni les algorithmes, ni les modèles génératifs, si performants soient-ils, ne disposent de ce que requiert les services linguistiques de la qualité exigée dans les instances intergouvernementales : le bon sens, la compréhension du contexte, la conscience des références culturelles, et cette faculté proprement humaine à s’interroger sur le sens au lieu de le reproduire mécaniquement.
L’attitude interrogative ne se programme pas.
Contrairement à une idée reçue, ce ne sont pas les traducteurs et les interprètes qui deviendront les assistants des machines, mais bien les machines qui continueront d’assister les professionnels, à condition que ces derniers soient formés non pas pour suivre, mais pour comprendre, questionner et décider. C’est précisément dans cette direction que la FTI-EII oriente ses formations : préparer des esprits capables d’agir, et non de s’en remettre aux automatismes.