Enseignement Prix, bourses et distinctions

Prix CONTI : Florine ANDRE, diplômée de la Faculté d’Architecture et d’Urbanisme, est récompensée pour son travail de fin d’études

Publié le 20 mars 2021
Rédigé par FA+U
Deux étudiants de la Faculté d’Architecture et d’Urbanisme, Florine ANDRE et Thomas DUPONT, fraichement diplômés d’un Master en Architecture, ont été sélectionnés dans le cadre de l’attribution du Prix CONTI.

Le Prix Calogero CONTI récompense le travail d’étudiants présentant une contribution pédagogique, sociale, environnementale ou humanitaire de grande qualité. A la suite d’une présentation en ligne qui s’est déroulée le 15 mars 2021 devant le jury de la Commission des Affaires Académiques, Florine s’est vue attribuée le premier prix, Thomas obtenant la seconde place.

  • Florine ANDRE : « Mesurer l’impact de la végétation sur les projets urbains – Création d’un outil d’analyse et application sur deux projets en développement du territoire montois ». Ce travail de fin d’études aborde la question de la nature en ville et plus particulièrement celle de la végétation. Il esquisse les bases d’un outil permettant de mesurer l’impact de la végétation et de proposer des pistes de développement pour les projets urbains (Extrait du texte vulgarisé).

Ce travail a été réalisé sous la tutelle d’Etienne GODIMUS et Simon BLANCKAERT, Promoteurs.

A l’annonce du prix j’ai d’abord été très heureuse, mais je me suis surtout rendue compte que je pouvais être fière et avoir confiance en mon travail car il pouvait parler à d’autres personnes et être réellement utile. Ça a été un petit boost de confiance en soi !

  • Thomas DUPONT : « Le Processus de reconstruction post-traumatique en Haïti :  Les acteurs de la planification pour une transition urbaine humanitaire – Le cas de Canaan ». Dans une société où l’humanitaire est idéalisé et où la Coopération au Développement est un système internationalement ancré, il parait essentiel de comprendre les réels besoins que nécessitent des communautés ayant subi un traumatisme et nécessitant l’aide internationale. Le processus de reconstruction post-traumatique est devenu, au fil du temps, un procédé internationalement standardisé et la réponse internationale face au séisme du 12 janvier 2010 en Haïti explique parfaitement la complexité des relations entre les différents acteurs nationaux et internationaux, actifs après la catastrophe. A travers ce travail de fin d’étude, l’objectif est de comprendre les raisons pour lesquelles les organismes nationaux et internationaux ont eu tant de mal à gérer les défis urbanistiques, notamment dû aux questions institutionnelles autour de la propriété et de la planification de la reconstruction (Extrait du texte vulgarisé).

Ce travail a été réalisé sous la tutelle de Pascal SIMOENS et Fabrice SOBCZAK, Promoteurs

Nous leur souhaitons à tous deux une bonne continuation dans leur parcours de jeunes diplômés en Architecture !